Bien avant le soir, j’ai enfin pris le temps de me poser un peu, de prendre le temps à flâner, à faire laver mon linge dans une laverie.
Dans la ville, et surtout dans les quartiers populaires commerçants, c’était l’effervescence, le genre de lieu où j’aime à me mêler à la foule autochtone, où ça braille dans tous les coins des slogans tentants d’accrocher le chaland.
Comme j’ai aimé à le faire durant ce séjour au Pérou, j’ai déjeuné dans un marché, dans une petite échoppe, une cuisine de rien mais idéale pour moi par son authenticité.