A nouveau, me revoilà prenant le train d’Aguas Calientes à Hydroelectrica, puis un mini-bus entassé avec d’autres comme des sardines dans leur boite, conduit par un chauffeur dont le seul mot espagnol qui me vient à l’esprit pour le qualifier, tant il est agréable est “Cabron“.
Après 6h de ce mini-bus aussi inconfortable que son chauffeur est désagréable, j’arrive enfin à Cusco pour y passer une dernière nuit avant de reprendre un bus beaucoup plus confortable mais pour cette fois-ci 21h00 de trajet jusqu’à Lima, ma dernière étape avant pour retour en France.
Lima où je passerai Noël.